1: Albert R. Broccoli a choisi un Seiko Quartz LC modèle DK001, de 0674 à 5009 comme le nouveau James Bond regarder pour "The Spy Who Loved Me" (1977). Ce fut le premier film de M. Broccoli comme seule tête d'EON. De manière significative, l'utilisation de l'horloger de «l'effet modulation de champ" pour la sortie diode à cristaux liquides (LCD) a prouvé la plus avantageuse pour afficher en permanence le temps, à la seconde près, et de maximiser l'efficacité de la consommation d'énergie. Cette montre a également marqué la première fois que James Bond serait porter une montre qui a fourni indication de la date.
2: "GoldenEye" (1995) était le dernier film de James Bond produite avant la mort d'Albert R. Broccoli. Au total, donc, 11 sur ses 12 choix Bond-montre à la tête de EON Productions avaient été quartz. Cette Omega Seamaster référence 2541,80 modèle peut être une métaphore parfaite de la Révolution Quartz: Il est tout simplement une autre «choix» aux côtés de la mécanique 2531,80 James Bond Seamaster, sans compromis. Ceci est la dernière confirmée montre quartz film-Bond, bien qu'à l'époque moins de 7% de toutes les montres-bracelets invoqués échappements balancier.
3: "The Living Daylights" (1987) sont retournés à la vision originale de Ian Fleming de James Bond comme commando furtif. Le replique TAG Heuer de référence Nuit Diver 980,031 fond axé sur le soutien de cette image, avec du quartz-tech pour les montres-bracelets alors effectivement une donnée. Jack Heuer a écrit plus tard dans son autobiographie que la série 980 a été ce qui avait rendu son entreprise à la rentabilité à venir de la Révolution Quartz. En plus de l'agent 007, au moins quatre autres personnages dans ce film "The Living Daylights" portaient le même modèle de montre - un nombre record.
4: James Bond portait une Hamilton Pulsar "The Computer Time," modèle de P2 2900, dans "Live and Let Die," EON Productions (1973). Ce fut le premier quartz Bond-montre et à bien des égards a marqué le début pratique de la Révolution Quartz dans son ensemble. A cette époque, les décideurs clés en provenance du Japon, la Suisse et les États-Unis ont tous offrent des solutions de rechange concurrentielles aux consommateurs. Le placement de produit dans ce film de James Bond a souligné l'importance d'avoir des montres-bracelets qui étaient extrêmement précis et encouragé une norme de chronométrage minute par minute.
Online replique montre suisse comme replique montre tag heuer, Hublot, Audemars Piguet sont certaines des marques les nombreuses repliques disponibles.
2: "GoldenEye" (1995) était le dernier film de James Bond produite avant la mort d'Albert R. Broccoli. Au total, donc, 11 sur ses 12 choix Bond-montre à la tête de EON Productions avaient été quartz. Cette Omega Seamaster référence 2541,80 modèle peut être une métaphore parfaite de la Révolution Quartz: Il est tout simplement une autre «choix» aux côtés de la mécanique 2531,80 James Bond Seamaster, sans compromis. Ceci est la dernière confirmée montre quartz film-Bond, bien qu'à l'époque moins de 7% de toutes les montres-bracelets invoqués échappements balancier.
4: James Bond portait une Hamilton Pulsar "The Computer Time," modèle de P2 2900, dans "Live and Let Die," EON Productions (1973). Ce fut le premier quartz Bond-montre et à bien des égards a marqué le début pratique de la Révolution Quartz dans son ensemble. A cette époque, les décideurs clés en provenance du Japon, la Suisse et les États-Unis ont tous offrent des solutions de rechange concurrentielles aux consommateurs. Le placement de produit dans ce film de James Bond a souligné l'importance d'avoir des montres-bracelets qui étaient extrêmement précis et encouragé une norme de chronométrage minute par minute.
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